Portrait | Marion, la supportrice
Dans un premier temps, peux-tu te présenter ? Je m’appelle Marion Aubin, j’ai 27 ans et je suis responsable partenariat et secrétaire adjointe du club de L’Hay-les-Roses.
Que fais-tu dans la vie ? Je travaille pour la santé publique d’une mairie.
Quel est ton lien avec le club ? Je suis supportrice.
Depuis combien de temps supportes-tu Nanterre ? J’ai commencé en 2012/13 parce que mon père venait déjà aux matchs. Il a vu jouer Trent Meacham et il savait que c’était le genre de joueur que j’aime voir sur un terrain.
Pourquoi supporter Nanterre plutôt qu’un autre club ? Parce que mon père a le basket dans le sang et qu’il est ami avec Frédéric Donnadieu, il vient depuis l’époque de la pro B.
Quel joueur et quel match t’a le plus marqué ? Le joueur, c’est sans hésiter Trent Meacham. J’ai eu une très longue période de fan, j’adore son style de jeu et sa mentalité, il est exemplaire. Je l’ai suivi jusqu’à sa retraite et je suis même parti voir un match de Boulazac pour lui. J’ai eu un compte Twitter fan de lui. Pour le match, la victoire en Eurochallenge était vraiment stressante et c’est l’une des plus belles.
« Quand on arrive à Nanterre, c’est difficile de partir. »
Qu’est-ce qui différencie Nanterre des autres clubs ? Quand on arrive à Nanterre, c’est difficile de partir. Mon père sera vert jusqu’au bout aussi. C’est un club familial et les joueurs sont toujours sympas. Quand il y a eu le changement de président, j’ai posé des vacances pour ne pas louper le match. En rentrant dans la salle, tout le monde se connaît, aujourd’hui, le palais des sports et l’un des endroits où je me sens le mieux.
Comment imagines-tu le futur du club ? Dans tous les cas, je vais toujours supporter Nanterre.
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Propos recueillis par Martin Tchoukanov